Depuis quelques années, des lieux hybrides, par la multiplicité des usages qu’ils proposent et par la diversité des profils qu’ils accueillent, se développent sur tout le territoire français.

Souvent dénommés « tiers-lieux », ces projets s’inscrivent en marge du processus classique de production immobilière, affirmant une forte vocation culturelle, sociale et écologique.

La particularité de ces lieux est qu’ils sont, pour la majorité d’entre eux, portés par des personnes guidées par la volonté de créer :

• Des espaces propices à l’échange et à la mise en commun
• D’expérimenter ou de restaurer des usages et fonctions urbaines utiles à la population
• De générer un écosystème en capacité de penser et coconstruire le futur d’une société en pleine transformation

Répondant à des enjeux de développement territorial, de lien social et de solidarité, les lieux hybrides sont vecteurs de bien(s) commun(s) et d’externalités positives reconnus par les usager.e.s, l’environnement proche et bien sûr les actrices et acteurs publiques.